Une demande de crédit est une démarche intéressante qui vous permettra de réaliser vos différents projets. L’opération se fait auprès des institutions financières qui se chargeront de vous allouer les prêts en fonction des critères préétablis. Par ailleurs, il faudra observer certains principes réglementaires pour que son crédit soit accepté. Découvrez les éléments qui vous permettront de savoir si votre crédit sera accepté afin de prendre les mesures adéquates.
Analysez votre taux d’endettement
Pour savoir si votre crédit sera accepté, il vous faut vérifier si le pourcentage de votre dette est raisonnable. Ce taux est la partie des revenus affectés au remboursement du crédit. Ce dernier peut être payé par la carte de crédit.
Il est souvent conseillé d’opter pour un degré raisonnable d’endettement d’environ 30 à 40 %. Vous pouvez éviter d’excéder 33 % afin de donner plus de chance à votre crédit d’être accepté. Cela implique que vos revenus mensuels seront 3 fois plus élevés que la mensualité de la dette. Les institutions bancaires vous prendront au sérieux, car elles sauront que vous pourrez rembourser le prêt. Par ailleurs, le chiffre des 33 % n’est pas une obligation pour les sociétés bancaires. Il reste toutefois un principe qui garantit l’acceptation des prêts.
Si vous avez un bon revenu mensuel, votre prêt sera accepté même si vous choisissez un taux d’environ 35 %.
Considérez votre apport
Il est important que vous ayez un apport important sur votre carte de crédit. Les banques n’aiment pas faire des prêts à des personnes qui ont un faible apport. Lorsque vous présentez une somme élevée en guise d’apport, votre banque se sentira plus en sécurité et vous fera confiance. De manière illustrative, pour un prêt de 100 euros, il faut avoir un montant de 90 €. Ainsi, l’entreprisepeut vous accorder les 10 € restants. Dans le cas où vous n’aurez que 20 €, votre demande peut ne pas être prise en compte.
Tenez compte de votre bien-être sanitaire
Évitez de solliciter un prêt pendant que votre état de santé est perturbé. Lorsque vous le faites, votre banque peut ne pas vous donner une suite favorable. En effet, l’institution aura des doutes sur votre capacité de remboursement.
Vous pouvez la rassurer en souscrivant à une assurance d’emprunteur. Cependant, il faudra que vous jouissiez d’une bonne santé avant d’effectuer cette démarche. Vous répondrez avec succès aux questions de santé de l’assurance pour bénéficier de votre crédit. Par ailleurs, vous pouvez bénéficier des services de la convention AREAS pour faire votre prêt quand vous êtes souffrant.
Considérez votre âge
Les banques préfèrent plus emprunter de l’argent aux jeunes. En effet, elles misent assez sur les personnes qu’elles verront sur de longues durées. Vous pourrez alors recevoir facilement votre emprunt si votre âge ne dépasse pas la quarantaine. L’ambition des banques est de vous fidéliser pour des objectifs à long terme. De plus, ces institutions considèrent que les jeunes sont en mesure de bénéficier des revenus importants dans l’avenir.
Analysez votre situation professionnelle
Les banques considéreront mieux votre demande de crédit si vous avez un contrat à durée indéterminée. Cela leur confirme que vous pourrez effectivement rembourser votre prêt. Ainsi, les travailleurs qui bénéficient d’un contrat à durée déterminée rencontrent plusieurs difficultés dans le cadre de l’obtention du crédit.
Même si vous gagnez moins en CDI, votre banque peut mieux vous privilégier qu’une personne en CDD. L’ancienneté de la société qui vous emploie est aussi importante. Les salariés d’une vieille société ont plus de chance de recevoir leur emprunt.
Vérifiez si vous êtes surendetté
Les banques n’aiment pas les personnes de mauvaise foi en matière de crédibilité financière. Si vous avez été une fois fiché au sein de la Banque française, cela peut compromettre votre degré de confiance. Vous serez perçu comme un mauvais emprunteur en qui il ne faut pas faire confiance.
Pour avoir une idée précise sur votre crédibilité, la banque vérifiera si votre nom figure dans certains fichiers. Il s’agit du document central des chèques ainsi que le document lié aux incidents de paiement dénommé FICP.
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