L’incertitude qui domine l’économie en temps de crise soulève de sérieuses questions sur les stratégies à suivre par les investisseurs pour assurer un flux d’épargne afin de consolider leur avenir financier. Le marché immobilier en Israël qui, depuis des décennies, a été une destination naturelle pour des investissements sûrs, présente aujourd’hui un changement structurel dans sa physionomie, qui modifie sa rentabilité et la manière d’estimer le retour sur investissement (ROI). La hausse exceptionnelle de la valeur des propriétés en Israël au cours des quatre dernières années, a révélé la résilience frappante du marché immobilier du pays, ayant réussi à surmonter la crise des prêts hypothécaires à risque et ses effets macroéconomiques en Amérique et en Europe également. En ce sens, le marché immobilier israélien occupe une position avantageuse dans laquelle les investisseurs locaux et étrangers peuvent profiter, en comprenant les avantages compétitifs du secteur immobilier en Israël, ainsi que les clés à prendre en compte au moment de l’achat appartements en Israël, décrits ci-dessous. De toute évidence, comme pour tout sujet, le savoir-faire est un outil essentiel pour optimiser le retour sur investissement, tout en minimisant les risques et en accélérant le retour sur investissement du projet.
Ce qu’il faut savoir sur l’immobilier en Israël
Sans déprécier la pertinence des raisons idéologiques, l’État d’Israël offre aux investisseurs, tant locaux qu’étrangers, un certain nombre d’avantages intéressants pour l’achat d’actifs immobiliers. Parmi eux, le faible risque de perte de valeur, la sécurité juridique, les avantages fiscaux offerts par le pays et la solidité macroéconomique du système hypothécaire. Comptant près de 110 000 transactions immobilières par an, Israël se caractérise par une importante pénurie de logements. Avec un approvisionnement annuel de 30 000 nouvelles propriétés et une demande de 40 000 par an, l’État juif ne présente que 105 unités de logement pour 100 ménages; un ratio qui est parmi les plus bas du monde développé. L’incapacité du gouvernement à promouvoir la construction de logements sans surcharger l’économie, ainsi que les pénuries d’infrastructures de transport et de communication pour ses habitants, rendent improbable que les prix de l’immobilier en Israël connaissent une tendance à la baisse. De plus, les investisseurs étrangers dans l’immobilier israélien trouvent un niveau de sécurité juridique qu’ils ne trouvent souvent pas dans leur propre pays. Contrairement à ce qui se passe dans de nombreux pays où les contrats de location durent entre deux ans ou plus et où les locataires ont les moyens juridiques de déshonorer leurs engagements, les contrats en Israël sont généralement annuels, et le propriétaire dispose d’outils juridiques pour l’expulsion immédiate du locataire, en cas de rupture de contrat.
Avantages d’investir en immobilier en Israël
Les avantages fiscaux offerts aux Israéliens et aux Juifs du monde pour avoir une maison en Terre Sainte, représentent une raison importante pour laquelle de nombreux investisseurs des États-Unis, du Canada, de l’Europe et du Brésil ont acheté une grande quantité de propriétés en Israël. Celles-ci comprennent des allégements fiscaux pouvant atteindre 360 000 euros à l’achat d’une première propriété et des revenus de location à partir de 1 300 $ par mois. Même si aucun pays du village mondial n’est à l’abri des effets de contagion d’une crise internationale, l’implosion de la bulle immobilière aux États-Unis en août 2007 a permis au système hypothécaire israélien d’améliorer sa protection contre les futurs effondrements économiques. La solidité macroéconomique d’Israël, illustrée par son rôle au sein de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), est ici renforcée par des systèmes financiers et hypothécaires prudents, qui minimisent la volatilité sans compromettre la stabilité du marché du logement.
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